Link Van Niels
Messages : 16 Date d'inscription : 11/01/2009
| Sujet: Link Van Niels { Fini ^^ } Mar 13 Jan - 22:22 | |
| - Votre fiche d'identité -
Nom: Van Niels Prénom: Link Gabriel Surnom: On l'appelle Link plutôt que Gabriel, vu qu'il n'a jamais fait allusion à son "véritable" prénom. Sinon, ses plus intimes connaissances l'appellent parfois Gaby. Age: 16 ans Date de naissance: Il devait naître le 21 juin mais est né le 24. Lieu de naissance: Leipzig, Allemagne Groupe sanguin: B- Pouvoir: La météorologie ; Son pouvoir est souvent contrôlé par ses émotions. Lorsqu'il est mélancolique, le ciel est souvent couvert d'un épais manteau de nuage noir. Lorsqu'il est en colère, vent fort et éclair zèbre le ciel, il lui est arrivé de créer une tornade. Mais il peut aussi le contrôler lorsqu'il le souhaite et faire tomber de la neige pour ennuyer un ami.
- Votre famille -
Votre père: Dominik Van Niels était le dernier de sa famille, son père est mort bien jeune à cause d'un cancer. Mon père se prenait sûrement pour mon petit ami ou alors avait des tendances perverses. Je lui étais comme bénéfique alors qu'il ne semblait comprendre que presque chaque jour, il me violait en y prenant même plaisir. Il avait autour des 45 ans la dernière fois que j'ai voulu le voir puis je suis partit du nid familial. Votre mère: Nattasha Van Niels, de son nom de jeune fille, Winvermes, était mariée à mon père voilà déjà 15 ans. Elle avait 35 ans. Avait ? Oui, mon père l'a tuée par jalousie pour moi. Je n'avais pas l'impression qu'il me considérait comme un fils mais plutôt comme son amant. Cela déplaisait à ma mère et même si elle me soutenait en silence, elle a fini par ouvrir la bouche et mon père l'a tuée.
- Physique et Caractère -
Votre physique: Link n'est pas complexé par sa taille, un peu plus petit qu'une femme de taille normal. De corpulence mince, ses courbes sont trop féminines pour qu'on pense, au premier regard, que ce n'est pas une femme. Ses allures fragiles trompent souvent les gens munis de mauvaises intentions. Sa volonté est de fer et il peut devenir aussi violent que son père lorsqu'il n'obéissait pas. Son teint laiteux et sa peau est aussi douce que la soie et, à part les multiples cicatrices qu'il porte au niveau de ses hanches, celle-ci semble plus fragile qu'une plaque de verre sur le point de s'écraser au sol. Même s'il n'a pas honte de son corps, Link reste quelqu'un d'extrêmement pudique et ferait tout pour garder ses vêtements sur lui, peu importe les sacrifices. Il se tient très mal, son échine est toujours courbée peu élégamment et ses épaules tombent douloureusement. Même s'il tente de se tenir droit, il n'y parvient que peu longtemps. Ses vertèbres se sont habituées à cette position et la changer revient à le faire souffrir d'un affreux mal de dos.
Son visage à des traits fins et doux, il est rare de le voir en colère, même son regard ne reflète pas la colère à première vue. Il est aussi très rare de le voir juste sourire. La mélancolie ne cesse de le hanter depuis la mort de sa mère et il n'arrive pas à haïr son père. Alors à la place, il ne peut s'empêcher de culpabiliser. Son regard est assombri par la tristesse et ses yeux, autrefois rouge flamboyants, sont à présent d'un rouge plutôt terne, gris. Vous trouvez sûrement cela bizarre, quelqu'un aux yeux rouges ... pourtant, un lapin albinos à les yeux rouges, tout comme Link. Celui-ci n'a pas eu beaucoup de chance. Il est albinos et, en plus, il a une défaillance au cerveau. Celui-ci n'a pas développé le toucher alors il ne sent rien. Ni la douleur, ni les caresses. Il n'a jamais rien sentit depuis sa naissance. Les médecins lui ont dit que cela se rétablirait normalement autour de ces 16/17 ans. Pourtant, il n'a toujours aucune sensation nulle part. Ses yeux sont toujours ouvert à demi, déjà formé en amande, ils sont encore plus fins à cause de sa "manie". Quant à ses cheveux, ils sont d'un blanc légèrement argenté et lui tombe jusqu'en dessous des hanches. On le confond souvent avec une fille et certains utilisent ce détail pour l'insulter. Pourtant, cela ne le touche pas, même pas du tout. Il s'aime comme ça et n'a pas honte de lui. Votre garde-robe: Gabriel aime beaucoup les très longs manteaux noirs, du style gothique. Il en a quelques uns et ne se privent pas de les mettre. Il préfère, aux vêtements larges et aux pulls, des vêtements assez moulants, surtout au niveau des jambes. Et ses très vieilles baskets noirs noyées des millions de fois dans la boue et aspergée d'un peu de tout et de rien. Certaines filles qui s'amusaient à l'asperger de parfum, parfois des flaques étranges dans les couloirs qu'il ne ratait jamais. Bref, elles en ont vues beaucoup ses éternelles chaussures. Même s'il en a d'autres paires, il a vraiment l'habitude d'enfiler celles-là le matin. Il passe parfois de simples t-shirts noirs aux dessins ou textes peu ... joyeux, et toujours à fond noir, surmonté de son déjà vieux gilet (il n'a qu'un an mais bon) noir aux quelques étoiles vertes pomme. Malgré sa panoplie de bijou en tout genre, il n'en sort, de sa boîte à malice, que deux. L'un est le collier de sa mère (il se demande si sa mère n'était pas un homme d'ailleurs), plutôt masculin pour le collier d'une femme, et un bracelet plutôt épais avec milles et un pendentifs dessus. Ceux-ci lui appartiennent tous. Tout ce qu'il pouvait trouver d'assez petit et attachable, il l'a accroché dessus.
Vos signes particuliers: A part les multiples (voir beaucoup trop nombreuses) cicatrices au niveau de ses hanches, rien ... Petites manies, etc: Lorsqu'il est nerveux, il enroule une mèche de ses longs cheveux à son index, il se mord la lèvre lorsqu'il s'ennuie. Et regarde longuement son bracelet lorsqu'il est mélancolique.
Votre caractère: Link est quelqu'un d'extrêmement mélancolique. Il n'en connaît pas toujours la raison. Pensif et rêveur, il n'a que rarement les pieds sur terre et y est rarement ramené par une parole quelconque, se perdant parfois tellement dans ces souvenirs ou ces pensées qu'il oublie qu'on lui parle ou même qu'il n'est pas tout seul. Assez sociable, il reste tout de même très absent et ne tient pas longtemps les discutions. Lorsqu'il sort de ses phases assez ... étranges (?), il est plutôt souriant et très stupide. Il se met lui-même mal à l'aise pour tenter d'ennuyer quelqu'un. Souvent ironique, il a la "manie" de toujours avoir d'étranges mimiques au visage qui donne tout son amusement à ses paroles. Extrèmement pudique, Link est quelqu'un qui n'oserait jamais enlever l'un de ses vêtements devant quelqu'un. Son père l'y obligeait et les nombreuses cicatrices qui marquent son corps le mettent mal à l'aise. A présent, il déteste être brusquer ou pousser à faire quelque chose. Il a souvent des flashs back qui le font rougir et cela parle toujours et évidemment de son père (^^). Quelque peu froid lorsqu'on aborde le sujet de sa famille, il peut vous envoyer balader juste à cause de cela. Assez étrange, je sais ... Gaby passe souvent d'une humeur à l'autre et possède un certain mal à s'exprimer. Il n'ose même pas dire à quelqu'un qu'il ne sent rien, au niveau de la peau. Et son albinos le met aussi mal à l'aise que lorsqu'il doit retirer son haut. Paranoïaque ? Assez, oui ... il se sent toujours épié et doit fermer porte et fenêtre ainsi que rideaux ou volets à fond avant de peut-être retirer son haut et vérifier sous son lit et dans ses armoires. Ca fait plutôt peur à voir et je vous déconseille de l'épier ainsi ou alors, cachez-vous autre part (XD). Plutôt timide, il ne fera jamais le premier pas, pour les rencontres, ou pour une chose autre que ça. Egalement réservé, il ne se dévoile entièrement que lorsqu'il connaît vraiment bien la personne, son coeur ayant été brisé par un gars stupide et immature, il a beaucoup de mal à faire confiance. Votre orientation sexuelle: Homosexuel, son père l'y a un peu ... attiré (?). Vos problèmes, votre vision du monde, vos envies cachées: Link possède un sérieux problème, celui du toucher. Malheureusement, il ne peut rien sentir, sa peau est comme une épaisse couche de vêtement et de caoutchouc qui ne fais qu'absorber les sensations sans qu'aucun nerfs ne réagissent. Sa vision du monde ? Il n'en a pas de toute particulière. A part pour son père, enfin, pour lui même ... il se hait d'avoir laissé son père tuer sa mère par un malencontreux malentendu. Ses envies cachées ... Il n'en a pas de toute particulière non plus. Peut-être celle de pouvoir ou apprendre à sentir par sa peau. Vous en société: Link est quelqu'un de plutôt amical mais peut-être un peu trop mélancolique. Il a déjà fait déprimer des personnes à cause de sa perpétuelle mélancolique. Cela l'énerve lui-même. Sinon, il peut se détacher un instant de ces pensées sombres si le sujet ou si la personne l'interresse, mais cela reste assez rare. Même s'il n'aime pas trop la companie (pas au point d'aller chercher le premier venu pour parler), il aime tout de même ne pas être seul mais ne fera jamais le premier pas. Il observe, attend et remarque certaines choses plus facilement que d'autre. Plutôt attirant, son regard reste tout de même craintif, même s'il sait ou pense que vous êtes une personne bien ou sans trop de mauvaises intentions.
- Votre histoire -
Un matin de juin, comme tout autre. Comme tout autre ? Vraiment ? C’était le jour de ma naissance, mon arrivée dans ce monde. Après un long et douloureux moment pour ma mère, je poussai mon premier cri alors que les médecins, plutôt étonnés, annoncèrent à ma mère que j’étais albinos. Une nouvelle qui décevait beaucoup mon père. A ses yeux, j’étais loin d’être un enfant normal. Il me délaissa mais ma mère aimait pour deux et j’étais baigné chaque jour dans l’amour de ma mère, presque noyé, d’ailleurs. Mes premiers mois ne furent pas facile, ma mère se plaignait que je n’arrivais pas à attraper les jouets ou alors que je les cassais. Ma peau, comme « dépourvu » de nerfs, était insensible à toute chose et je ne sentais pas ma force ni celle que je mettais dans ma main pour tenter de tenir mes jouets. Je ressemblais à une peluche incapable de pouvoir jouer et cela me rendait, chaque jour, plus colérique et impulsif. A force, je prenais de moins en moins de patience pour mes joujous et les jetaient aux murs sans pitié. J’étais pris pour un fou, auprès des courageuses baby-sitter qui prenaient plaisir à me garder mais qui, après environ une semaine, voulait à tout prix se séparer de moi. Elles trouvaient toute sorte d’excuse, plus bidon les unes que les autres. Enfin bon, j’étais jeune à ce temps là, je ne comprenais pas tout non plus.
Puis je grandis lentement, d’en d’étranges conditions. Mon père me regardait avec un autre regard, un regard beaucoup moins insensible et froid. Bien que cela me paraissait normal, je n’appréciais pas ce regard qu’il me jetait de temps à autre. Et surtout sa manie de me coller. C’était un vrai pot de colle et tous les prétextes étaient bons pour rester près de moi et m’avoir dans les bras. Évidemment, ma mère commençait à voir mon père comme un pervers, il ne faisait plus attention à elle mais bien à moi. Je prenais lentement de l’âge, trop lentement à mon goût d’ailleurs. Les médecins m’avaient prévenu, moi et mes parents, que mon sens du toucher se rétablirait aux environs de 16 ou 17 ans. Bien sûr, j’espérais arriver à cet âge le plus vite possible, comprenant enfin ce que j’avais, ce qui me tourmentais en étant petit. Ma fête d’anniversaire, peut-être là dernière qui me fit vraiment plaisir. J’avais mes dix ans, ce jour là, et avait un moral d’acier. Mon père devenait de plus en plus étrange mais je ne m’en préoccupais plus, à force. Ces détails me paraissaient à présent invisible mais à la fin de cette soirée joviale et conviviale, je fus plus attentif au comportement du paternel. Il m’emmena dans son bureau, si mes souvenirs sont bons, en me répétant qu’il avait un cadeau. Il me fit entrer et ferma la porte, à clé, derrière lui. Là, je commençais à avoir des doutes. Ensuite, mon père changea totalement d’expression, son regard était à faire pâlir les zombies et même les monstres dans les films d’horreur. Mon père était un homme affreusement pervers et sadique, cela se voyait à présent, sur son visage caché par l’absence de lumière dans la pièce. Il avait bien préparé son coup …
Après qu’il se soit bien amusé avec mon corps de préadolescent, voir même avant, il me laissa à l’abandon dans son bureau alors que, les jambes flageolantes, le tentai péniblement de me rhabiller pour rejoindre ma fête, mon moral d’acier brisé comme une simple et fine branche de bois. Ma mère s’était, finalement, demandée ce que nous avions fait, mon père m’a presque assassiné du regard et je compris que je devrais garder le silence. Il lui raconta que nous avions jouer (c’est le cas de le dire) avec son cadeau toute l’après-midi. Malheureusement, ma mère remarque mon teint pâlis ainsi que ma fatigue subite et la raideur de mon corps. Les mères remarquent toujours tous … mais elle ne fit aucun commentaire et préféra le silence, tout comme moi. Il continua ses tours quelques fois après puis cela devint plus régulier. Il m’y forçait et, malgré que la douleur était absente, la fatigue, elle, me prenait d’assaut chaque jour. Je finis par me résumer à lui obéir, préférant apprécier plutôt que de tenter de lui échapper de d’avoir encore quelques cicatrices de plus sur les hanches. Mais à force de toujours répéter la même chose, mon père se lassa mais continua tout de même pour bien me pousser à bout. Le jour ou je tombai de fatigue, devant les escaliers pour m’écraser tout en bas sans même avoir remarqué les multiples autres marches qui j’avais prises un peu partout, ma mère hurla sur mon père qui, lui, n’en avait rien à faire. Évidemment, ma mère lâcha un phrase de trop et, un couteau de cuisine à la main, il menaça ma mère de retirer ses paroles. Trop fière pour cela, elle désobéit et mon père lui arracha la vie. La colère et la tristesse fut tellement forte dans mon cœur déjà en miette que, les poings serrés, un violent orage hurla sa haine dehors et le vent faisait virevolter les arbres, arrachant presque ceux-ci de leur sol. Un tornade naquit non loin, arrachant bientôt une bonne partie de la maison alors que mon père, depuis déjà quelques bonnes inputs me traitaient de monstre. Lorsque je me tassai à nouveau sur mes genoux, à court d’énergie, mon père appela rapidement une école spécialisée pour les gens comme moi et je me réveillai à St Séraphine sans me souvenir de ma colère du jour fatal.
- IRL -
Votre nom, prénom ou pseudo: Wahrheit Comment trouvez vous le forum ?Des suggestions ? Nan, moi j'l'aime bien ^^ Comment avez-vous découvert le forum ? De forum à forum, je faisais la curieuse dans les partenariats et je suis tombée dessus. Petit + à ajouter ? Nan ... | |
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